I’m back!

Une histoire de pigeon

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Je « lisais » l'article sur rue89, « Protéger sa vie privée sur Internet, un luxe ?. Elle dit payer une fortune. Regardons point par point.

Bref, avec de l’hygiène numérique et du temps pour apprendre (vous apprenez bien à conduire, non ? Avec un ordi, pareil !). Bref, Rue89 écrit des articles de plus en plus pourrit. Ils auraient pût avoir un meilleur niveau, depuis le temps qu‘ils traitent du sujet.

Vers une typographie libre ?

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Comme vous savez certainement, je suis un grand amateur de typographie. Ce que j’aime par dessus tout, c’est qu’elle soit libre. A quoi cela sert de rédiger sous GNU/Linux, avec LibreOffice, et imprimé avec des drivers libres si on utilise une police propriétaire ?

Quelques sites pour télécharger des polices, le plus souvent libre :

Selon mes essais, et ce n’est qu’un avis personnel, je préconise les polices suivantes :

Un conseil, c’est utiliser des polices avec empattement (serif) pour l’impression et sans empattement (sans-serif) pour la lecture sur écran. Sinon, cela est indigeste.

Pourquoi je vous parle de tout ça ? Je fais des essais pour trouver une police répondant aux critères suivants :

Si vous avez trouvé la perle rare, je suis preneur ! Pour l’instant, je fais différents tests (en modulant la taille, la « graisse » de la police, en montrant aux uns et aux autres pour avoir des avis…), pour voir laquelle est la plus pertinente. Ainsi, on pourra faire des économies d’impression, en aillant de beaux documents et libres.

Le futur est de retour

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Marty Mc Fly, dans le film Retour vers le futur, débarque aujourd’hui. Mais on n’a ni voitures volantes, ni hoverboard, ni hydratateur de pizza, ni une mode bizarre (ah si)… Au lieu de cela, on doit (ré)inventer les low-tech.

Bref, 2015 n’est pas 1985 en mieux, on est en 2015 en crise (politiquement, écologiquement…) , et on doit se réinventer pour permettre l’humanité de survivre. Mais avouez que c’est quand même mieux, non ? On n’a pas d’hoverboard, ni de voitures volantes, mais on a des moyens pour économiser de l’énergie, en produire proprement (à quand un Mister Fusion ?), un réseau neuronal planétaire (internet)… Avouez que ça plus de gueule ?

Bloc-Note

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Quelques commentaires ou des liens issus de ma veille. Je fais cette exercice en guise de tri des actualités.

La médisance

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Je vais vous raconter une histoire de la puissance de l'effet de groupe, et notamment sur nos perceptions. Y'a une nouvelle, qui est, disons le franchement, a des problèmes avec certaines conventions sociales, un peu un mode « décalage sociale ». Jusqu'à là, rien de mal, je le suis aussi, même si j'ai compris que pour « survivre » je devais être un caméléon. Bref, tout le monde commençait à dire du mal d'elle. Bien sûr, j'étais gêné, étant éduqué avec des principes du genre « regarde la poutre dans ton œil » ou « ne souffle mot des pêchés des autres tant que tu es toit même pêcheur », je savais, de par mon vécu, que la médisance est quelque chose d’extrêmement blessant. Pourtant, je me suis aperçu que je me suis mit à dire du mal de cette personne. Bien sûr, en m'apercevant de ça, j'ai eu honte.

Bref, la prochaine fois, pour contrecarrer ce genre de remarques, je vais citer des qualités ou des faits qui vont valoriser cette personne. De là, se pose une réflexion : l’humain se méfie de ce qui est différent, préférant ce qui lui ressemble. Pourtant, la diversité fait la richesse. On doit se concentrer sur la richesse de chacun au lieu de perdre du temps à médire les uns sur les autres. Certes, cracher son venin peut être un excellent moyen de sociabilisation quand on a rien à dire, mais cela est fait aux détriments de personnes déjà fragile à la base. La réponse d'une partie des luttes féministes ou anti-racismes trouvent solution en des choses simples en apparence, mais dur à appliquer tant il est ancré culturellement.

Le monde à la conquête d'Internet

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Il est d’usage, quand on navigue sur Internet, de taper nonchalamment une adresse, tel que perdu.com. Cette adresse, à l’instar d’un annuaire, est relié à une adresse IP, permettant de pointer vers le bon serveur la requête. En effet, perdu.com est plus facile à retenir que 208.97.177.124.

L’organisme gérant ces noms de domaines à l’échelle internationale – car bien sûr ces dernières doivent être uniques, perdu.com ne devant pas être redirigé vers deux serveurs différents – s’appelle l'ICANN, Internet Corporation for Assigned Names and Numbers, qui dépend pour l’instant du département du commerce états-unien, même si une réflexion est faite pour une émancipation du contrôle de ce pays, pour avoir une approche plus collégiale.

En 2011, l’organisme, jugeant que les domaines du premier niveau tel que .com, .net, .coop ou .fr par exemple ne suffisait plus, ils allaient donc permettre à des entités privées de déposer leurs propres extensions. Outre un ticket d’entrée d’un minimum de 185 000 dollars pour poser une candidature (sans avoir la certitude d’être retenue), on a pût voir une flopée de propositions, donc une partie a été retenue. Quelques années sont passés, et il est temps de faire le point, non seulement sur les noms de domaines antérieurs à cette époque, mais aussi après, afin d’en dégager plusieurs tendances.

Si vous voulez voir toutes les extensions, une page Wikipédia les recensent.

Une prédominance des États-Unis, un héritage historique

On peut voir, en premier lieu, l’existence de noms de domaines liés à l’administration étatsunienne, présente dès les débuts. Citons le .gov (gouvernement), le .mil (militaire) ou le .edu (éducation). On peut remarquer une volonté de montrer une hégémonie et une suprématie, un site américain pouvant avoir une adresse en .gov, alors que le gouvernement français doit se contenter d’un pauvre gouv.fr. Cet héritage est dû aux liens entre l’ICANN et le département du commerce.

Une extension régionale

Si on regarde les extensions nationaux, on peut remarquer la liste de nombreux pays. Mais aussi d’organisations territoriales non étatique comme l’Antarctique (.aq) ou l’Union Européenne (.eu). On peut remarquer aussi des territoires qui ne sont pas des États-nations, mais ayant un statut spécial, comme la Réunion (.re) ou Hong-Kong (.hk). On peut aussi remarquer que la géopolitique joue beaucoup. L’adresse du Sahara occidental (.eh) est réservé, mais pas encore attribué. La Palestine, bien que non internationalement reconnu par tous les pays, possède un joli .ps. Cependant, point de mention de certains pays de facto indépendants mais pas reconnu internationalement (sauf quelques pays), tel que l’Ossétie du Sud ou la Transnistrie.

monde partage The Plumb-pudding in danger, or, State epicures taking un petit souper caricature de James Gillray, domaine public

Fait plus cocasse, l’adressage du Sud-Soudan (.ss) a été supprimé à cause de la proximité homophonique avec la force paramilitaire nazie. De toute manière, ce pays a sûrement d’autres problèmes à résoudre, comme le tracé de ses frontières, qu’une simple présence sur Internet. De manière anecdotique, le .su, qui est l’extension de l’URSS, est encore en vigueur.

Depuis quelques années, il y a une prise en charge des caractères non-latins dans les adresses. De ce fait, il y a une remise en question d’une hégémonie de l’Occident sur cette question concernant Internet. À titre d’exemple, ایران. Appartient à l’Iran ou .укр à l’Ukraine.

Une extension régionale

Mais les extensions ne sont pas seulement nationales, mais aussi régionales. De nombreuses régions ou villes ont la volonté d’affirmer leur souveraineté sur la Toile, et par extension, marquer symboliquement une forme d’indépendance. Il existe le .bzh pour les bretons, .eus pour les basques, .scot pour les écossais. Ils peuvent aussi porter le nom de grandes villes, souhaitant affirmer leur pouvoir et leur rayonnement international. Citons le .paris, le .berlin, le .london, le .nyc (New York) ou le .tokyo. Dans ces exemples, deux choses sont à remarquer. D’une part, les régions qui veulent une extension ont une forte identité, voire une volonté d’autonomie. De ce fait, ils s’assurent une forme d’indépendance virtuelle. La deuxième concerne ces grandes villes : elles s’affirment en tant qu’entité propre et souhaitent avoir une « image de marque » afin de s’assurer ou confirmer une attractivité de leur territoire, s’assurant des retombées économiques, touristiques et culturelles.

De ce fait, on peut remarquer que pour un territoire, il est judicieux d’avoir une extension pour être reconnu. Il y a donc un enjeu géopolitique non-négligeable et l’obtention de ce sésame permet une existence virtuelle, numérique.

Cuba

une extension économique

Il est certes judicieux pour un territoire de posséder une « souveraineté numérique » sur le réseau des réseaux. Néanmoins, les transnationales veulent aussi jouer un rôle stratégique, et s’octroie, par l’achat d’une extension, une forme de « fief » avec une forme de souveraineté. De ce fait, on peut voir apparaître des .google, .axa, .ovh, .ibm, .nhk ou .yandex.

On peut remarquer que ces noms ne sont pas des inconnus. Nombre sont des transnationales dans le numérique ou les télécommunications, des banques, des assurances, des lobbys importants (.nra le lobby pro-arme étatsunnien ou .lds pour l’Église des derniers jours) ou des institutions (.cern)… On remarque néanmoins que ces derniers, sauf exceptions, sont de grands groupes occidentaux ou venant du Japon, de Russie, ou de la Corée du Sud, qui sont de grandes puissances industrielles asiatiques. Ainsi, il y a un ancrage fort de ces empires économiques, qui osent défier les États sur Internet. On remarque un jeu de pouvoir intéressant. Les différents traités de libre-échange montre que les États n’ont que peu de pouvoirs face à des entreprises toujours plus grosses. On peut l'interpréter comme la marque d'un monde multi-polaire, avec d’un côté le pouvoir étatique et de l’autre un pouvoir économique.

une extension mercantile

Finalement, dans cette typologie des noms de domaines, avec les extensions nationales, régionales et économiques, on peut voir un dernier cas : celui de l’extension mercantile. Des entreprises achètent des extensions pour pouvoir les vendre ; il y a donc spéculation, et investissement sur les extensions. Ils ne sont pas vus comme un instrument de pouvoir, mais comme un simple produit financier dans lequel on investit. On retrouve de nombreux noms dans la liste des propriétaires, dont certaines sont des startups crées pour l’occasion : Donuts, Rightside Group, Minds+Machines, Google, Afilias ou XYZ.com.

Conclusion : et le citoyen ?

En conclusion, les noms de domaines, loin d’être seulement une simple ligne dans un fichier texte, sont aussi un jeu de géostratégique important. Celui qui contrôle les noms de domaines contrôlent majoritairement Internet. La gouvernance est source de tensions, notamment pour les pays critiquant l’influence étasunienne trop présente. De plus, il permet à des États ou à des régions d’exister d’une certaine manière, tout en confirmant le rôle majeur des mégapoles voulant rayonner. Les grandes entreprises jouent un rôle de plus en plus grandissant et souhaitent aussi leurs parts du gâteau en voulant porter des attributs similaires aux pouvoirs territoriales. Finalement, on retrouve de simples spéculateurs voulant gagner de l’argent. Internet est donc un reflet des tensions géopolitiques, avec les puissances étatiques établies, les puissances régionales souhaitant une plus grande autonomie, des mégapoles cherchant un rayonnement mondial, des firmes affirmant un pouvoir grandissant et de simples opportunistes qui n’y voient qu’une occasion de plus pour faire du profit.

Mais face à ces enjeux nationaux, régionaux, économiques et mercantiles, quelle place pour les simples citoyens ?

Opinion sur la pénurie d’aliments dans le reste du monde

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— Instituteur : Quelle est votre opinion sur la pénurie d’aliments dans le reste du monde ?
— Afrique : C’est quoi « les aliments » ?
— Europe : C’est quoi « la pénurie » ?
— États-Unis : C’est quoi « le reste du monde » ?
— Pays arabes : C’est quoi « une opinion » ?

Cynisme économique

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Un code du travail en miettes, Martine Bulard, 14 septembre 2015, dans le monde diplomatique

On pourrait pourtant faire remarquer qu’il suffit d’enlever toutes les dérogations exigées et obtenues par le patronat (sur le temps de travail, l’intérim, les types de contrat de travail, etc.) pour alléger sensiblement ledit code…On pourrait se livrer comme certains petits malins au jeu de « qui pèse le plus lourd » : le code du travail (sans les commentaires de l’éditeur Dalloz) atteindrait 0,789 kilogramme (kg), contre 1,450 kg pour le code du commerce ou encore 1,100 kg pour celui des sociétés. […] Révolution, tabou… Curieusement, ces mots ne s’appliquent jamais à la remise en cause de la toute-puissance des actionnaires. Comme si une entreprise ne devait être qu’au service de ceux qui détiennent le capital. Quant à l’obligation d’obtenir l’accord de la majorité des salariés (ou des syndicats), qui serait le nec plus ultra de la démocratie, il ne s’agit que d’un cache-sexe. Qui peut croire qu’en période de chômage et de division syndicale, le rapport de forces ne tournera pas à l’avantage du patronat ? Qui peut croire qu’un code du travail, fût-il allégé, créera des emplois ? En 2008, il avait déjà perdu des plumes (500 lois, 10 % de texte en moins) avec comme maître d’œuvre, déjà, M. Combrexelle… sous l’autorité de M. Sarkozy . On connaît le résultat sur l’emploi.

Certaines formes de revenu garanti reposent sur l’inconditionnalité du revenu qui ne doit être soumis à aucune condition d’activité. Mais on peut se demander si une telle conception n’est pas conduite à réitérer les présupposés de l’individualisme et de l’hédonisme libéral. L’individu doit avoir le droit à un revenu pour pouvoir faire ce qu’il lui plaît sans considération de son appartenance à une société et à un milieu naturel. Il est tout d’abord possible de se demander si on ne doit pas considérer le revenu comme le produit non d’un individu, mais d’une activité collective. A l’inverse de l’activité individuelle centrée sur un plaisir narcissique, le travail est un fait social qui implique, du fait de la division du travail, des relations entre les individus. De fait, l’existence d’un tout social suppose un contrôle démocratique sur la richesse produite au sein de la société et la manière dont elle est utilisée. Quelles activités doivent être favorisées par la richesse collective ? En effet, on peut se demander s’il s’agit de subventionner des individus pour qu’ils se livrent par exemple à des activités polluantes ou à la production d’objets de consommation inutiles ou autres…

Mais nous faisons face à ces deux problèmes au même moment, et ils se renforcent mutuellement : plus d’énergie nécessaire pour extraire et raffiner les métaux, plus de métaux pour produire une énergie moins accessible.[…] La croissance « verte » se base, en tout cas dans son acception actuelle, sur le tout-technologique. Elle ne fera alors qu’aggraver les phénomènes que nous venons de décrire, qu’emballer le système, car ces innovations « vertes » sont en général basées sur des métaux moins répandus, aggravent la complexité des produits, font appel à des composants high tech plus durs à recycler. […] Le déploiement suffisamment massif d’énergies renouvelables décentralisées, d’un internet de l’énergie, est irréaliste. Si la métaphore fleure bon l’économie « dématérialisée », c’est oublier un peu vite qu’on ne transporte pas les électrons comme les photons, et qu’on ne stocke pas l’énergie aussi aisément que des octets. Pour produire, stocker, transporter l’électricité, même « verte », il faut quantité de métaux. Et il n’y a pas de loi de Moore (postulant le doublement de la densité des transistors tous les deux ans environ) dans le monde physique de l’énergie. […] Mais une lutte technologique contre le changement climatique sera aussi désespérée. […] Avec la croissance « verte », nous aimerions appuyer timidement sur le frein tout en restant pied au plancher : plus que jamais, notre économie favorise le jetable, l’obsolescence, l’accélération, le remplacement des métiers de service par des machines bourrées d’électronique, en attendant les drones et les robots. Ce qui nous attend à court terme, c’est une accélération dévastatrice et mortifère, de la ponction de ressources, de la consommation électrique, de la production de déchets ingérables, avec le déploiement généralisé des nanotechnologies, des big data, des objets connectés. Le saccage de la planète ne fait que commencer. […] Nous devrons décroître, en valeur absolue, la quantité d’énergie et de matières consommées. Il faut travailler sur la baisse de la demande, non sur le remplacement de l’offre, tout en conservant un niveau de « confort » acceptable. […] Liberticide ? Certainement, mais nos sociétés sont déjà liberticides. Il existe bien une limite, de puissance, de poids, fixée par la puissance publique, pour l’immatriculation des véhicules. Pourquoi ne pourrait-elle pas évoluer ? Un des principes fondamentaux en société est qu’il est préférable que la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. Puisque nous n’avons qu’une planète et que notre consommation dispendieuse met en danger les conditions même de la vie humaine – et de bien d’autres espèces – sur Terre, qui est liberticide ? Le conducteur de 4×4, l’utilisateur de jet privé, le propriétaire de yacht, ou celui qui propose d’interdire ces engins de mort différée ? […] Il faudra aussi se poser la question de l’échelle territoriale à laquelle mener cette transition, entre une gouvernance mondiale, impossible dans les délais impartis, et des expériences locales individuelles et collectives, formidables mais insuffisantes. Même enchâssé dans le système d’échanges mondial, un pays ou un petit groupe de pays pourrait prendre les devants, et, protégé par des mesures douanières bien réfléchies, amorcer un réel mouvement, porteur d’espoir et de radicalité. Compte-tenu des forces en présence, il y a bien sûr une part utopique dans un tel projet de société. Mais n’oublions pas que le scénario de statu quo est probablement encore plus irréaliste, avec des promesses de bonheur technologique qui ne seront pas tenues et un monde qui s’enfoncera dans une crise sans fin, sans parler des risques de soubresauts politiques liés aux frustrations toujours plus grandes. Pourquoi ne pas tenter une autre route ? Nous avons largement les moyens, techniques, organisationnels, financiers, sociétaux et culturels pour mener une telle transition. A condition de le vouloir.

Bilan de dégafamisation, septembre 2015

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J’essaie, au maximum, de me défaire des grands groupes concernant mon usage de l’informatique. Voici un résumé de mon usage informatique au temps T.

En hors ligne

Concernant le matériel et les logiciels :

Je crois que j’ai fait le tour de mon usage. J’ai pas vraiment de modèles de menace en terme de sécurité (même si je chiffre un maximum mes communications), la volonté étant d’être autonome et résilient sur les services critiques. Mise à part deux points concernant Google, je pense que je suis bon pour un internaute lambda, sans tomber dans la paranoïa. L’objectif maintenant est de rationaliser et simplifier mon usage du numérique, afin de viser une optique de minimalisme.

Pour cela, j’ai réduit l’usage de mes comptes en ligne. Le fait d’utiliser Keepass permet de visualiser le nombre de comptes. De plus, je vise moins de 100 flux à suivre. Ce n’est pas pertinent, vu que j’ai quelques flux qui postent beaucoup et d’autres jamais, mais c’est symbolique.

Il faut aussi rationaliser mon usage et me modérer. Pour cela je dois être discipliner : regarder mes courriels tant de fois par jour, idem pour mes flux et les divers réseaux sociaux. La rentrée aidant, cela va être un bon exercice. Je pense que je vais valoriser l’utilisation de Wallabag, même si ce dernier à des effets perverses : on met de nombreux articles, trop, et on a pas le temps de tout lire. Je restreins l’usage de stockage de fichiers en ligne au minimum : mon instance Owncloud contient les cours que je partage et le matériel de réunions que j’organise.

En conclusion, je suis sur la bonne voie vers la « sobriété numérique ». Et vous ?

Bienvenue sur le blog

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Pour ceux qui ont connu l’ancienne version de l’étudiant libre : Il y a eu un changement symbolique, pour marquer officiellement la transition « blog communautaire » en « blog de Qwerty », chose qui était déjà de facto mais non de jure.

Quelques changements techniques : j’écris en Markdown et la base de donnée est en Sqlite, au lieu d’un format interne et du MySQL.

La ligne éditoriale ne change pas, et heureusement !

PS : un petit commentaire me serait utile pour savoir si je n’ai pas perdu de lecteurs en route !