Nous sommes Charlie

La dictature Stallmanienne

Par le Temps de lecture estimé : 5min 1 Commentaire

Note : Je tiens à vous informer que cet article doit être lu au 42e degré et non littéralement. Et oui, la forme polémique prise est faite exprès et n'a que pour but de divertir.
Richard Stallman est en quelque sorte le fondateur du logiciel libre. On peut donc ainsi le nommer « Le petit Père des peuples » (bien que je ne le compare pas à Staline, mais l'expression peut en être ressorti et par l'image qu'il cultive de "saint" faussement bienveillante). Les libristes, s'appelant affectant entre eux « camarades », vivent dans une société faussement libre (et oui, c'est un jeu de mot laid).
Les libristes crient toujours les premiers sur l'orwellisation du monde, et de la surveillance, et même de l'espionnage. Et pourtant, ils pratiquement malgré eux un novlangue les empêchant de réfléchir, en inventant un nouveau sens aux mots. Et bien sûr, certains mots sont interdit. D'ailleurs, quand on lui pose une question avec ce fameux mot interdit, ne répond-il pas non, n’employez pas ce mot, il ne faut pas, c’est incorrect ! ?
N'appelle pas les logiciels propriétaires (à code source fermé) « privatif » ? Comme une prison, ou la captivité ? Que l'on nous prive quelque chose ? Et que au contraire, le petit père des peuples nous libère, de par sa révolution, en construisant une société libre et sans privations ?
De remplacer « créateur », qui peut avoir une signification théologique (et donc lui fait concurrence dans son culte de la personnalité ?) Le « Gestion numérique des droits » par « gestion numérique des restrictions » car en effet, le régime stallmanien est une société sans droits mais aux contraire faites de privations ?
L'absence du mot « gratuitement » ou « disponible gratuitement » ? Car en effet, dans une société sans argent, mettre le mot gratuitement voudrais dire qu'il existerait des choses non gratuites? Ah, quel malheur, si le peuple découvre l'argent, ça sera la révolte, car on remarquera que le Dictateur bien aimé se garde toutes les richesses, et on pillera le palais de Stallman ! De même, le mot « monétisé » et « vendeur » est prohibé.
L'expression « propriété intellectuelle » est banni. Les deux mots choquent. Chaque objet, invention, création, par le droit de la société stallmanienne passe dans le domaine public (ou plutôt est attribué à Stallman. En effet, Stallman a envoyé Chuck Norris dans le goulag dans les années 2000. Il en est donc l’héritier spirituel). La notion d'intellectuel choque un peu. En effet, c'est bien eux qui critique le système et qui le fait tomber, non ?

Comme nous avons vu, de bien nombreux mots sont interdits. Et ceci est la volonté d'un seul homme, Richard Mattew Stallman. Faites vous confiance à un homme qui réduit votre liberté de parler, et donc de penser, voire même votre liberté tout court ? Faites vous confiance à un homme qui choisi son micro-onde uniquement parce que son fireware est libre ?
Si vous voulez vraiment gagner en liberté, débarrassez vous de votre dictateur !
(source :https://www.gnu.org/philosophy/words-to-avoid.fr.html)
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Une petite réaction, fort tardive certes. Mais ÀMHA il y a plusieurs contre-sens ici :

> Le « Gestion numérique des droits » par « gestion numérique des restrictions » car en effet, le régime stallmanien est une société sans droits mais aux contraire faites de privations ?

Je trouve le point de vue stallmanien déjà assez abusif en soit, pas besoin d'en rajouter ici : les «droits» seraient des restrictions imposées par une minorité à la majorité. Et pourtant, les droits d'auteurs ont bien été inventés pour protéger les auteurs (même s'ils ont été détournés pour protéger de plus en plus les éditeurs).

Bref, le «régime stallmanien» n'est pas une société sans droits, comme tu le dis. Au contraire, c'est un vision qui impose des droits, les fameuses libertés fondamentales ; donc toute restriction à ces droits est vue comme une privation.

> L'absence du mot « gratuitement » ou « disponible gratuitement » ? Car en effet, dans une société sans argent, mettre le mot gratuitement voudrais dire qu'il existerait des choses non gratuites? Ah, quel malheur, si le peuple découvre l'argent, ça sera la révolte, car on remarquera que le Dictateur bien aimé se garde toutes les richesses, et on pillera le palais de Stallman !

Non, pas du tout, c'est là un contre-sens ! Stallman ne nie pas l'existence de logiciels gratuits, c'est juste que «gratuit» et «libre» sont deux notions différentes, qui ne portent pas sur la même chose. Un logiciel propriétaire peut être gratuit (ex : le driver de nvidia) ou non. Un logiciel libre de même, bien qu'il soit difficile de faire un logiciel libre payant (puisque n'importe qui peut faire un fork gratuit).

Cette distinction est importante pour montrer qu'il est possible de gagner de l'argent en commercialisant du logiciel libre (ex : Red Hat). Ça permet donc de montrer que les concepts de GNU ne s'opposent pas nécessairement au capitalisme et à l'économie de marché.

> De même, le mot « monétisé » et « vendeur » est prohibé.

Pour «monétiser», je suis d'accord avec toi. Pas pour «vendeur» : leur explication est claire je pense.


Bref, juste une envie de troller pour bien dormir.
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