Pourriture.
La décomposition est une chose fascinante. En effet, elle transforme quelque chose d’inutile – mort –, en quelque chose d’utile, la vie. La décomposition est donc propice, part sa nature mutationniste, moteur de changement. Du vieux, il le transforme en neuf.
Ainsi, lorsqu’on traite un politicien, un banquier… ou n’importe quel puissant de pourriture, nous sous-entendons qu’il sert à quelque chose : son inaction, ou sa capacité de nuire à l’intérêt général, pousse la société à se mobiliser et à se transformer.